PREMIÈRE VAGUE DE MUTILATIONS ANIMALES FRANÇAISE

AVERTISSEMENT

Cet article contient des photographies d'animaux mutilés qui peuvent heurter la sensibilité du lecteur.
Les propos exprimés dans cet article n'engagent que son auteur.


NOTE DE LA RÉDACTION

La mutilation de bétail est un phénomène où des animaux (généralement des vaches, des moutons ou des chevaux) sont retrouvés morts et mutilés dans des circonstances anormales. Ce phénomène est caractérisé par différents éléments inexpliqués, tels que la précision chirurgicale de la mutilation, le drainage complet du sang de l'animal, l'ablation de certains organes internes et des organes sexuels, mais aussi l'absence de sang sur les lieux. Ce phénomène est répertorié dans différents endroits du monde, notamment aux États-Unis depuis le début des années 1960. Différentes hypothèses ont été émises sur l'origine de ce phénomène : décomposition, prédateurs (animaux ou cryptides), OVNIs, rituels satanistes ou organismes secrets.

Les mutilations de bétail ont été l'objet de deux enquêtes fédérales indépendantes aux États-Unis.

Première vague de mutilations animales française


UN ARTICLE DE JOSÉ BOUILLON
INTRODUCTION

Durant l’année 2020, une affaire sordide va soulever l’émoi et surtout l’indignation de la population française. L’affaire est si choquante, si énorme que les médias, la radio, et même la télévision vont la relayer presque quotidiennement durant l’été. De quoi s’agit-il ? Une horrible série de mutilations d'équidés, souvent mortelles, frappe notre pays. De nombreux articles paraissent dans la presse, des interviews, des photos. Ce phénomène dramatique s’étend sur une vingtaine de départements, ce qui conduit la gendarmerie à ouvrir plus de 200 enquêtes à travers le territoire, sous la pression de propriétaires révoltés et désemparés. Les zones mutilées observées sur certaines juments ne sont pas sans rappeler les précédentes séries de mutilations qui ont défrayé la chronique, dès les années 1960, notamment au Colorado, et dont malheureusement le public français a trop peu entendu parler.

La première victime dans le Colorado était une pouliche du nom de « Lady ». La Pennsylvanie puis d’autres états allaient alors connaître les mêmes atrocités. À l’époque, les bovins seront les plus touchés, mais l’on recensera également des chevaux, des chèvres, des moutons et même des animaux domestiques. Dans les années 80 et 90, le phénomène s’étend. De nouvelles vagues de mutilations animales font leur apparition aux États-Unis, mais aussi en Australie, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud et au Canada. Durant cette période, l'Europe semble épargnée avec quelques cas seulement qui sont rapportés généralement par les médias locaux.

À l'époque déjà, les enquêteurs relatent l’absence de trace de lutte sur les animaux. Il est également déjà questions d’incisions nettes, instantanément cautérisées, sans aucun saignement ni caillots de sangs, et qui semblent avoir été provoquées par des instruments chirurgicaux extrêmement bien élaborés. Un détail revient souvent dans les rapports : « Les bêtes sont vidées de leur sang. » La listes des organes prélevés est récurrente : les ablations des parties génitales, des mamelles, des oreilles et des yeux reviennent souvent. C’est à chaque fois le même spectacle d'horreur, et du fait de son étrangeté le phénomène fait rapidement son entrée sur la scène ufologique mondiale.

Le corps sans vie de « Lady », retrouvé mutilé le samedi 9 septembre 1967 (Colorado, États-Unis)
Lady

Une affaire qui dérange

Quoi qu’il en soit, l’année 2020 marque l’arrivée d’une première vague massive de mutilations animales en Europe, et la France est particulièrement touchée. Cette vague massive a connu quelques signes avant-coureurs. En effet, au moins deux cas ont été rapportés dans deux villages du Puy-de-Dôme : à Loubeyrat, en décembre 2018, et à Châtel-Guyon, durant l'été 2019. « Les propriétaires n'ont pas porté plainte à l'époque », a expliqué le procureur de la République de Clermont-Ferrand sur une radio locale. Le premier cas recensé en 2020 remonte à la nuit du 11 au 12 février. Un cheval du lycée agricole de Château-Salins, en Moselle, est retrouvé mutilé. Son oreille droite a été découpée de façon « quasiment clinique », a raconté le proviseur Mr. Hervé Montigny. Quelques jours plus tard, le 15 février exactement, un autre cas survient en Vendée, près des Sables-d'Olonnes, au Girouard. Un cheval de course est retrouvé mort dans son pré, l'oreille tranchée. Là encore la coupure est nette et précise. Un vrai mystère.


Le 4 mars, un cheval est poignardé à mort dans la nuit, à Neuvy-en-Sullias, dans le Loiret. L'animal a été vidé de son sang. Sa propriétaire a porté plainte. Le 22 avril 2020, c’est au tour d’une pouliche de deux ans. On la retrouve morte, l'oreille coupée, massacrée par des inconnus dans une pâture à Quierzy, près de Chauny, dans l'Aisne. Deux autres chevaux ont été blessés, mais ils sont encore en vie. Au mois de juin, en Seine-Maritime, les mutilations de chevaux se multiplient. Le 6 juin, une jument est retrouvée agonisante près de Dieppe, l'oreille droite coupée nette. Treize jours plus tard, à Grumesnil, Loïc Crampon retrouve son âne de quatorze ans, mort dans son pré. L'un de ses yeux a été énucléé et, là encore, l’oreille a été tranchée. A la mi-juin, à Lammerville, toujours en Seine-Maritime, Alain Comalada, éleveur de chevaux de sport, retrouve son poulain « Jador your life » avec une entaille sur le poitrail. Résultat de l'agression : 50 points de suture. Son poulain restera en vie, mais la guérison est anormalement difficile. Il porte plainte à la gendarmerie. Le 9 juillet, une jument est retrouvée avec la mâchoire fracturée dans un fossé sur la commune de Criquetot-sur-Longueville. Elle s'est vraisemblablement fortement débattue au moment de l'attaque, et elle a réussi à s’enfuir. En tout, on peu déjà dénombrer sept cas de chevaux tués ou mutilés, rien que pour la Seine-Maritime au cours de ces quelques mois.

Alors que les cas de chevaux et autres animaux mutilés dans les prés s’accumulent pendant l'été, les enquêteurs piétinent. Les conclusions des premières enquêtes laissent sceptiques les éleveurs. Sur les 460 cas recensés par l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP), à peine un peu plus de 80 sont considérés comme ne relevant pas de causes naturelles ou accidentelles. Une note du Service Central du Renseignement Territorial (SCRT) évoque la multiplication des attaques dans l'été, notamment à partir du mois d’août. La liste s’agrandit en effet : un poney tué et mutilé dans l’Essonne ; une pouliche laissée en vie, mais « l’œil et les oreilles arrachés, le cœur poignardé, le vagin enlevé » en Saône-et-Loire ; une jument subit le même sort dans le Jura ; un pur-sang égorgé dans les Côtes-d’Armor, une ponette retrouvée morte, le crâne fracassé, l’oreille coupée et une partie du museau tranché en Saône-et-Loire, etc. Vingt départements sont concernés. Plusieurs enquêtes préliminaires sont ouvertes, mais, pour l'instant, aucun lien formel n'a été établi entre les agressions. Les enquêtes sont confiées aux gendarmeries locales et parquets de chaque département. Mais plus le temps passe et plus il est question de les dessaisir au profit d'un service national de recherche, de façon à centraliser les informations. Voici ce qu’il en est de l’état des lieux de l’affaire, telle que les faits ont été rapportés par la couverture médiatique à ce jour. Pour ma part, il me semble que les médias n’ont laissé entrevoir que la partie émergée de celle-ci, en réalité une partie infime du problème.

Photos de divers agressions et mutilations constatées

  • Mutilations animales
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Mon enquête démarre 

Je vais vous proposer une autre grille de lecture. Mais pour bien comprendre mon analyse, il faut remonter au 21 janvier 2018. Ce jour-là, une source bien placée dans les services de renseignement au plus haut sommet de l'état Français me contacte. « José, tu devrais enquêter sur ces cas étranges de lapins mutilés ! ». Je connais bien l’homme, et je sais, pour l’avoir souvent vérifié, que ses informations sont fiables. Je comprends donc dès cette époque, qu’il se passe quelque chose de bizarre en France avec les lapins. Bien que déjà surpris et intrigué, je suis loin d'imaginer l'ampleur du phénomène sur lequel j'allais enquêter.

« Nous sommes tous préoccupés. Cela crée une certaine psychose sur le territoire », affirme à l'AFP, Mr le maire Jean-Yves Fenvarc'h. « C'est très spécial ce qui se passe là. On n'a pas du tout l'idée de qui pourrait se faire l'auteur d'actes pareils », souligne l'élu. L'individu agirait toujours selon le même mode opératoire, en s'introduisant dans des propriétés, parfois en plein jour. Il y trouve des lapins qui sont « frappés et laissés au sol ». « Les victimes sont souvent des retraités qui ont un potager, des clapiers, des poules. C'est leur passion, leur dada qui est touché, c'est désolant. », estime l'élu. « Je reste coi. Dès mars, on a constaté des tueries dans diverses maisons. Et cela s'est amplifié. », déplore-t-il. Le dernier fait remonte à mardi. « L'individu aurait profité de l'absence de propriétaires partis faire des courses. À leur retour, ils ont découvert cinq lapins gisant devant leur clapier. Je suppose que quelqu'un devait les épier avant leur départ. », rapporte le maire.

Pour le moment, les enquêteurs disposent de très peu d'indices. « Une personne portant un imperméable et coiffée d'un chapeau a été surprise dans un jardin. Elle a aussitôt pris la fuite ». Le Parisien salue le travail des gendarmes qui ont utilisé des moyens techniques importants pour retrouver le coupable. Les enquêteurs ont notamment laissé des caméras thermiques devant certains clapiers déjà visités. Antoine Loussot, substitut du procureur de la République de Saint-Brieuc, a suivi de près le dossier. Malheureusement les images n'ont montré que des cas de chiens errants qui « arrivaient à se mettre debout à hauteur des lapins et à mettre leurs pattes sur les cages, sans forcément pouvoir les ouvrir ». Un appel à témoins est lancé sur les réseaux sociaux par la gendarmerie. Là encore sans succès. Pour de nombreux propriétaires victimes du tueur de lapins, la piste des chiens errants est loin d’être satisfaisante. Les chiens et les renards rongent les fils de fer, secouent leurs proies, répandent du sang, des poils et laissent partout des traces de leur agression. Dans le cas de ces massacres, les portes sont ouvertes, et les animaux sont piétinés, écrasés et vidés de leur sang, puis alignés d'une façon qui suggère une sorte de rituel macabre.

Nous pouvons également penser que l’auteur, ou les auteurs connaissent bien les propriétaires, car certains clapiers ne sont pas visibles de la route. Quoi qu’il en soit, après plus d'une centaine de lapins tués en pleine nuit l'enquête est finalement classée sans suite. À deux pas du centre-ville, un habitant de Lannion a retrouvé ses deux lapins sans vies. C'était le mercredi 27 mars 2019, vers les 8 heures du matin. Le propriétaire, qui souhaite rester anonyme, témoigne : « Mes lapins n’étaient pas de simples animaux de ferme. Ils faisaient partie de la maison, un peu comme des membres de la famille. Ils ne vivaient d’ailleurs pas dans un clapier. Installés au centre d’un vaste enclos grillagé, aménagé derrière la maison, ils habitaient un véritable château en bois, entouré de lampes. J’ai tout construit moi-même ». La veille, c’est son fils, âgé de 16 ans, qui les avait nourris. De retour de voyage, il avait pris le relai comme à son habitude. C’est ainsi qu’il a fait la terrible découverte : « Il y avait des touffes de poils un peu partout. J’ai retrouvé les lapins sur le côté, tous les deux placés comme pour un rituel. L’un a été décapité, sa tête a été emportée, comme un trophée. L’autre a été frappé et tué. » Ici, chiens et renards sont à exclure de la liste possible des suspects. De fait, la porte était munie de deux crochets, dont l’un placé en hauteur. En outre, des traces de pas sont nettement visibles.

Et puis, il y a cette précision de la décapitation qui suppose une lame particulièrement affutée. Ceci a été confirmé par le vétérinaire consulté par l’infortuné propriétaire : « Quand je les ai trouvés, les cadavres étaient déjà froids. Ça s’est passé pendant la nuit. Ils les ont tué dans ma propriété. Moi, il m’arrive de sortir tard dans le jardin, en peignoir. Il se serait passé quoi si j’avais surpris le ou les coupables en flagrant délit avec ce couteau aiguisé ? Il y avait mon fils à la maison. Il faut alerter la population. À ma connaissance, il s’agit du seul cas où la tête a été emportée. Si vous connaissez d’autres cas similaires, n’hésitez pas à me contacter. Dans la mesure du possible, j’aimerais pouvoir prendre contact avec d’autres propriétaires afin de faire cesser cette horreur. On ne peut pas se contenter de dire que c’est seulement des animaux, en haussant les épaules sans rien faire. Nous devons trouver les coupables. » Ainsi, depuis mars 2018, plus d'une centaine de lapins ont déjà été tués dans le Trégor, avec le même mode opératoire. Néanmoins après quelques recherches, et en questionnant quelques éleveurs professionnels, j’ai pu découvrir qu’au-delà des cas répertoriés par les rapports officiels, c’est plus de 2800 lapins qui ont été tués de la même manière, en 2018, au sein de grandes exploitations. Et cela, rien que pour le département Breton.

Un autre cas pour le moins déconcertant a fini par m’être rapporté. Au soir du 12 mai 2019, sur les coups de 23h30, Madame Languidic, une résidente du petit village de Plougastel, est réveillée par l’aboiement incéssant de son chien. Elle se lève, lampe torche à la main, et une fois arrivée dans l’arrière-cours où se trouvent les clapiers, elle observe avec stupéfaction une sorte de boule lumineuse de couleur verte. La boule tournoie à une dizaine de mètres de l’endroit où se trouvent les lapins : « Quand j'ai vu ça j'ai eu un haut le cœur. J'ai sortie mon téléphone portable que j’avais avec moi et j’ai juste eu le temps de prendre une photo. La boule lumineuse est partie à une vitesse extraordinaire dans le ciel étoilé. Sans aucun bruit. Je me suis alors dirigée vers mes lapins. Les cages étaient encore verrouillées. Quand j'ai ouvert la première, c'est là que j'ai vu que Mirabelle était morte. Elle gisait au sol ! Elle était coupée nette en deux parties. J'ai ouvert les autres cages et alors j’ai vu que mes autres lapins avaient subi le même sort qu'elle. Et il n’y avait pas la moindre trace de sang. Pas même une tâche sur le sol des clapiers, ni aux abords des cages. Mes lapins avaient été vidés de leur sang ! Le sang avait totalement disparu ». Ce témoignage me semble particulièrement intéressant du fait qu’il corrobore d’autres observations faites par d’autres témoins au court des dernières décennies, et qui laissent à penser qu’il existe une étroite relation entre ces affaires de mutilations animales et le phénomène OVNI.

Photographies de la "boule lumineuse verte"
et de quelques lapins retrouvés morts.
4ème image : photo-montage de la "boule lumineuse" en perspective de fuite.

  • Mutilations animales
  • Mutilations animales
  • La "boule verte" vu par Madame Languidic
  • Photo-montage du phénomène en perspective de fuite

Hypothèses possibles

Dans certaines affaires, de toute évidence, les massacres semblent avoir été perpétrés par un ou plusieurs individus. Les traces et le mode opératoire relativement grossier ne laissent aucun doute là-dessus. Naturellement, c’est cette approche rationnelle que les enquêteurs privilégieront systématiquement. Il n’empêche dans la majorité des cas, gendarmes et policiers sont face à un mystère complet. Aucun indice, aucun mobile apparent, aucun suspect, et ce en dépit de recherches sérieuses, d’appels à témoin, d’une mobilisation des propriétaires, et d’un support technologique de pointe. Comment les auteurs réussissent-ils à chaque fois à passer entre les mailles du filet ? Et quel est leur mobile ? Certaines rumeurs ont colporté l’idée de rituels sataniques. Une hypothèse que les autorités n’ont d’ailleurs pas écartée : « Les sacrifices de chevaux relèvent d’une pratique très ancienne bien que rien de tel n’ait été observé sur une période récente ».

Le Livre des symboles, livre référence sur les images archétypales dans les domaines de la religion et de la mythologie comparée, nous apprend que « Le sacrifice du cheval sacré, tel qu’Ashvamedha du rite hindou, était essentiel pour de nombreuses cultures anciennes qui, pour ce culte rituel, mettaient en jeu leur liberté, leur pouvoir, les mystères de la vie, de la mort et du renouveau ». Ainsi, faut-il vraiment voir dans les faits de mutilations de chevaux, une réminiscence de ces pratiques barbares, censées assurer prospérité et bonne fortune à ceux qui les commettent ? Les tortures infligées aux animaux pourraient-elles être le seul fait d’humains sans scrupule ? On peut aussi imaginer des actes ponctuels commandités par quelques services afin d’organiser une désinformation à destination de l'opinion publique.

L'apparition de curieuses marques de peinture verte fluo (voir ci-dessous), remarquées par les éleveurs de chevaux sur certains poteaux électrique, là même où certaines mutilations seront commises, va dans ce sens. Ces marques ne seraient-elles pas destinées en effet à faciliter le repérage des champs en pleine nuit, à l’attention de commandos qui ont pour ordre de faire ce sale boulot ? Ces marques sont en tout cas le signe d’opérations éclairs bien organisées, et qui sont de toute évidence réalisées par des humains. Le but serait d’empêcher de laisser germer dans la population l’idée d’une intervention « exotique » à l’origine des massacres. Une façon de cacher la vérité suivante : l’existence d’une vague de mutilation animale qui frappe l’Europe et plus particulièrement la France depuis plus de deux ans, et qui plongent nos autorités dans la plus totale impuissance.

C’est ainsi que, alors que les enquêtes étaient dans une impasse, apparaît un témoin providentiel qui relance les gendarmes et les médias sur une nouvelle piste. Le président d’un refuge de l’Yonne vient en effet de se faire agresser dans la nuit du 24 au 25 août, par deux hommes qu’il a surpris alors qu’ils venaient de mutiler un cheval et deux poneys : « J’ai été réveillé par les hurlements de deux cochons. J’ai éclairé, il y avait deux individus dans la ferme. L’un des agresseurs est venu me taper avec une serpette. Je lui ai donné des coups de canne et on s’est battus. Après avoir parlé dans une langue étrangère, lui et son compagnon ont pris la fuite ».

Le témoin a pu dresser le portrait-robot de l’un de ses agresseurs, un homme âgé de 40 à 50 ans. La description a permis l'arrestation d'un quinquagénaire le lundi 7 septembre, dans le Haut-Rhin. Interrogé par la gendarmerie, le suspect a finalement été mis hors de cause. Retour à la case départ. En attendant, l’arrestation médiatisée à outrance a permis de calmer les esprits et donne au grand public l’impression que les choses avancent. Ce n’est malheureusement qu’une impression.

Portraits robots, témoignages d’agressions ou de rôdeurs surpris, ne seraient-ils pas mis en avant par les autorités pour donner un semblant de normalité à toutes ces affaires dans le but de rassurer la population, comme un arbre qui cacherait la forêt ?

Photographies d'un marquage vert et du portrait robot.

  • Marques vertes
  • Portrait robot

L’hypothèse exogène

C’est un peu toujours la même histoire. Depuis plusieurs décennies, force est de constater que les affaires de mutilations animales débouchent invariablement sur un cul de sac. Une fois la vague passée, l’émotion retombée, les dossiers sont classés, faute d’avoir arrêté les coupables. Les gens retournent à leur vie quotidienne et oublient. Et si ce phénomène émanait d’une autre réalité qui viendrait interférer avec la nôtre, comme le pensent de nombreux ufologues dans le monde ? S’il fallait rechercher les coupables, non pas avec le prisme limité de la rationalité, mais en envisageant la possibilité d’une ingérence d’entités non humaines en provenance d’un autre monde ? Ajoutons quand même ici une donnée là encore importante. Car depuis 2018, j'avais déjà noté une très grande recrudescence d'observations d'OVNI sur le sol français. Ceci me laisse déjà penser qu'une opération des ces « poupées sans âmes » était dés lors en action.

Comme l’annonce l’AFP, d’après les enquêteurs, 20% seulement des violences constatées seraient imputables à l’homme. Quid alors des 80% restant ? Blessures accidentelles ? Vraiment ? Mon enquête sur le terrain m’a amené à rencontrer un ultime témoin. Madame Da Silva a lu les articles de presse et vu à la télévision les témoignages du mois de mars relatant la mort des animaux. Soucieuse à l’idée que cette horreur puisse advenir à ses propres lapins, elle a rapidement équipé son jardin d’un système photographique instantané. Or, plusieurs mois plus tard, le 9 octobre au matin, elle retrouve ses quatre lapins morts, coupés en deux. Toutes les cages étaient fermées : « J'ai eu une peine effroyable quand j'ai vu mes petites bêtes dans leurs cages. Avec toutes les précautions et l'amour que je leur avais donné, ils ont fini quand même par me les tuer ! J’en ai pris un… j’ai constaté qu’il était coupé en deux, comme s’il était passé au travers d’un laser ! Et puis, je suis allée voir si mon appareil photo avait pris quelque chose. Et j’ai vu ça... Cette chose indéfinissable et qui est bien présente, comme une sorte d'entité... une espèce de chèvre se tenant debout. »

Photo prise par Madame Da Silva

Conclusion

Au cours de mon enquête sur ces mutilations animales, j’ai fini par faire une constatation pour le moins déconcertante. Dans les cas les plus étranges, c’est-à-dire avec une forte présomption d’intervention de la part d’entités exogènes, tous les animaux morts, quelle que soit leur espèce et le mode opératoire, ont été vidés de leur sang. Cela est d’ailleurs conforme aux données récoltées depuis les années 1960 par plus d’une centaine d'enquêteurs, notamment aux Etats-Unis, où les victimes sont principalement des bovins et des chevaux. Nous sommes ici en France, face à une première mondiale, avec cette vague de mutilations qui frappe massivement les lapins. Avec plus de 10000 cas recensés en plus de trois ans sur le département français. Retenez bien ici une donnée fondamentale : au-delà des prélèvements d’organes, organes différents selon les cas, le seul dénominateur commun à ces massacres est en réalité ce programme de récupération du sang des victimes. Et c’est là que je souhaite attirer toute votre attention : Il ne s’agit pas de n’importe quel sang. Dans tous les cas, il se trouve que les espèces choisies ont un point commun invariable : un sang à très fort taux de fer. Or, le sang à haut taux de ferritine est une condition préalable à toute manipulation génétique réussie. Nos étranges visiteurs travailleraient-ils à la création de créatures hybrides ?

Parfois, il m’arrive de lever les yeux au ciel, fixant les étoiles dans l’obscurité et le silence de la nuit, convaincu qu’il existe une infinité d’autres vies, et je me demande quelles peuvent bien être les motivations qui les animent, et à quel trafic implacable se livrent ces créatures dont certains d'entres nous ne soupçonnons même pas leur existence sur terre.

José Bouillon, enquêteur ufologique indépendant.

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